Street Basket à Azpeitia
A l'école du street basket.
On les aura un jour, on les aura!
Malgré l'engagement d'une dizaine d'équipe, Zarean n'a pas réussi à ramener de trophée d'Azpeitia, en revanche on avait quelques beignes, des bleus et des bonnes rigolades dans les soutes du bus.
Le rendez-vous était donné samedi 7 juin à 7h00 à Mendeala. Tout le monde part un peu endormi, sans trop savoir ce qui nous attend. Et au bout d'une heure et demi de voyage, on tombe sur une organisation surprenante, mais super sympa: en plein coeur de la ville, sur la place, 8 demi-terrains de basket, pour une compétition avec presque... 200 parties organisées !!!
En revanche, personne ne nous avait prévenu qu'en fait de basket, c'était du street basket qui se pratiquait sous un ciel menaçant toute la journée, sans qu'il arrive vraiment à pleuvoir. La première surprise aura donc été pour les poussins et les poussines, surpris par un jeu on va dire... euh... "physique" et engagé. Heureusement, Julien, Txomin, Hélène et Patrick étaient là pour coacher tout ça. Les garçons sont arrivés en quart de finale, et chacun a pu repartir avec une poche pleine de bonbons, et autres chocolatines et boissons sucrées
dont on dira pas le nom, parce qu'on ne fait pas de pub sur ce blog.
Pour le midi, pique-nique sympa dans un parc, Hélène a pu réviser sa trousse de secours, et Ludo et Julien s'entraînent à faire des pompes, mais il était déjà trop tard. Les parties de l'après-midi deviennent de plus en plus en physique, au fur et à mesure que l'âge des participants s'élève. A noter que la catégorie "cadets", en fait, n'a aucune limite d'âge, avis aux amateurs pour l'année prochaine.
Pour les détails des parties, les photos sont assez parlantes, et puis vous demanderez aux entraînements de la rentrée à chacun qu'il raconte ses exploits. Moi j'ai qu'un seul conseil pour former les équipes de l'année prochaine: deux première ligne du HAC et un bon tireur à 3 points, ça devrait suffire pour arriver en finale. Parmi les points positifs, la place entourée de bars, ça a permis aux parents de pouvoir déguster les parties, assis tranquillement en terrasse.